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 [Sola] L'espoir de la liberté.

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Matsuri
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Matsuri


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MessageSujet: [Sola] L'espoir de la liberté.   [Sola] L'espoir de la liberté. Icon_minitimeMar 2 Nov - 0:30

Même si cela est tiré d'un animé, cette fan fic est totalement indépendante à l'histoire. L'univers reste le même, mais tous les personnages, les lieux et trames ont été créés uniquement par moi. Par conséquent, il n'y a pas besoin d'avoir regardé l'animé pour lire cette fic, j'expliquerai tout lors des chapitres ^^
Enfin, il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture à tous et à toutes, et aussi, n'hésitez pas à mettre des commentaires ^^

***

Disclaimer: L'univers appartient à Saru. Le reste m'appartient.

L’espoir de la liberté


Prologue:

« Les Yakas sont des êtres de la nuit, le contraire du jour, et les représentants de l’obscurité. Ils ne méritent pas de vivre dans ce monde. Ils sont morts et ne sont plus que des âmes qui errent sans but. Résister est vain, ils seront toujours les mêmes. Leurs morts doivent être impératives. Ils ne sont pas comme nous. Le feu sera notre allié, pour eux leur ennemi. Avec lui, nous pourrons tous les attraper... Toutefois, ce serait bête de les éliminer sans les avoir étudiés un peu, n’est-ce pas ? »

Les mots qu’elle entendait étaient toujours les mêmes, toujours sur le même ton : froid, sournois, la considérant simplement comme un outil. Une expérience, voilà ce qu’elle était pour eux, rien de plus. Un spécimen qui, après avoir été totalement étudié était liquidé car il n’avait plus rien d’intéressant. Dès fois, le sujet mourrait lors d’expériences mais cela n’était pas bien grave. Tant qu’il y en avait encore, cela était suffisant. Ces hommes osaient tout et ne semblaient pas avoir de cœur. Leurs actes étaient proprement dit immondes. Tout ce qui les intéressait, c’était leur morphologie, et tout ce qu’ils pouvaient faire, car, les Yakas n’étaient pas des êtres normaux, loin de là... Elles étaient d’un intérêt rare, mystérieux, et à la fois dangereux... Leur cas préféré était surtout elle, cette fille, qui semblait résister à tout ce qu’on lui imposait. Pour son malheur sans doute, le directeur-même s’en intéressait beaucoup. Peut-être était-ce aussi pour cette raison qu’elle n’était pas encore morte... Peut-être...
Les Yakas étaient toujours sous bonne garde, même si leurs geôliers ne connaissaient visiblement pas le terme propreté. Leurs nourritures non plus n’étaient pas vastes. Malgré tout, tant qu’ils demeuraient en vie jusqu’à ce que les médecins le décident, il n’y avait pas de problèmes. Après tout, ces Yakas n’étaient-ils pas juste des objets ? Pourquoi leur donner plus ?
Ils n’avaient pas le droit de demeurer libres. Ils n’étaient plus vivants, et ici, ils ne représentaient pas une menace.
Et peut-être qu’un jour, on découvrirait leur secret...

La jeune fille regarda l’homme entrer, et lui jeta un regard froid comme accueil. Le dégoût, c’était tout ce que ces types lui inspiraient. Elle affronta son regard sans se démonter. Oh non, ça leur ferait trop plaisir qu’elle montre de la peur. La prisonnière sentit des doigts s’agripper encore plus fort à elle, tremblants à demi. Une fillette de neuf ans, dans les bras de la jeune fille, regardait avec une crainte immense celui qui était entré. Son ainée la serra entre ses bras tentant de la rassurer, mais ne pouvait rien faire d’autre. Leur gardien les regarda avec mépris et leur jeta un plateau rempli de quelques mets, avec un peu d’eau.
- C’est votre repas, cracha-t-il. Régalez-vous bien.
Celle plus âgée lui sourit avec rage. Assise sur un le banc froid, qu’on pouvait aussi considérer comme lit, elle le regarda avec des menaces dans les yeux. Elle ne supportait pas de le voir. De les voir. Tous étaient cruels et sans pitié. La question lui revenait souvent, toujours la même : Pourquoi ? Pourquoi devaient-ils les considérer comme des animaux ? Son surveillant recula vers la sortie à son visage peu joyeux, d’où émanait une bien plus grande lumière que dans la salle où se trouvaient les prisonnières, ce dernier n’arrivant pas à cacher sa frayeur.
Au fait, on aurait pu considérer que ce lieu était comme une prison pure et simple. Il n’y avait rien de confortable, aucune fenêtre n’avait été permise pour plus de sécurité. La pièce était sombre, éclairée seulement par une petite lampe accrochée au plafond.
L’endroit où elles étaient assises était une sorte de planche en fer, étant aussi d’ailleurs la seule chose où elles pouvaient s’asseoir, si ce n’est à terre.
La main qui la secoua doucement attira l’attention de la jeune fille aux cheveux bruns. La responsable n’était autre que sa petite camarade. Cette dernière lui désigna la seule issue possible de la pièce... Libre. Mais, cela ne durerait pas. L’adolescente comprit rapidement.
- Mais, je ne peux pas te laisser ici, murmura-t-elle, de la peur naissant dans ses yeux subitement.
- C’est la seule solution... Toi seule peux arriver à sortir d’ici... Il n’y aura pas d’autres occasions avant longtemps...
- Et toi alors ?
Les yeux verts plantés dans celle de la gamine montraient bien son indécision. Elle s’était attachée à son amie, et elle avait été un énorme soutien pour elle. Comment pouvait-elle l’abandonner ? Comment pouvait-elle la laisser dans cet endroit d’horreur ? Dès qu’ils s’apercevraient de son absence, ils se vengeraient sur elle... Et alors, ils la...
- C’est toi leur principal intérêt. Tu le sais... Si tu pars, tout sera ralenti...
- Non..., répondit tout bas son interlocutrice. Je ne peux pas... Tu sais que tu...
- Je m’en fiche. Et puis...
Celle qui était plus jeune lui adressa un sourire, sûre d’elle.
- Je suis sûre que tu nous délivreras. Alors fais-le... Fais-le... Pour moi...

L’alarme était déclenchée. Tous avaient découverts sa disparation. C’était prévisible : le système de surveillance était extrême en ces lieux.
Le garde se réveilla doucement, le bruit régulier lui servant de réveil. Que s’était-il passé ? Pourquoi était-il là, couché sur le sol ? Ce n’était pas possible qu’il se soit endormi quand même ! Surtout qu’il ne semblait pas être dans sa chambre... Indécis, l’homme observa la cellule. Son sang se glaça d’un seul coup. Son esprit, jusque là dans le vague, se réveilla sous une décharge d’adrénaline.
Elle ne s’était quand même pas... Elle n’avait pas...
Si. Et maintenant, il se souvenait. Elle avait fait une légère tape dans son épaule quand il avait eu le dos tourné, l’interpellant en même temps. Lorsqu’il s’était retourné, sa seule vision avait été qu’elle utilisait ses...
- Qu’est-ce que tu as fait, espèce d’idiot ?! hurla un de ses congénères, passant la tête à travers la porte. Tu l’as laissée s’échapper alors qu’il ne le fallait absolument pas ! On va se faire tuer par le patron !
Et alors qu’ils recherchaient l’évadée, tout au fond de la salle recroquevillée dans un coin, celle qui était restée laissa échapper un sourire. Tout petit. A la fois rassurée et en même temps inquiète. Elle savait ce qu’il allait arriver, mais peu importait. Son amie, elle, était toujours libre... Peut-être que leur espoir allait pouvoir débuter. Tout doucement, elle murmura:
- Bonne chance... Midori...
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